lyrics
Refrain : J' Traine sur les boulevards, sur la cote, dans le Var ...Cigare cognac dans le bar , ni chaînes, ni code bar ... Musique Indépendante ... Vague a l'âme & Sang d'encre , j'aime la vie , malgré tout, après tout et après coups ...
Tant de questions ...de nuits blanche et de journées noire, de réminiscences , de cauchemars , de trous d'mémoire ... Des "Pace salute", des grosses lattes, et des déboires ... déjà tout petit je composé au lieu d' faire mes devoirs . Parfois le soir, je sort contempler les étoiles, ça m'donne l'impression d'm'évader, de mettre les voiles ... faut vraiment que je voyage, ailleurs que dans mes putain rêves, faut vraiment que j'm'en donne les moyens avant qu' j'en crève .
On a rien sans rien, sans se surpasser on n'ressent rien, ca tient a rien regarde a quoi on s'en tient . J'ai besoin d'bouger de changer, parcourir c' monde et vivre différemment , j'y pense chaque jours viscéralement , j'veut plus vivre comme précédemment , littéralement & intégralement ! tu m'a pas venir , non .... mais tu te rappellera le nom ... Bref, j'profite d'la vie et j'crois même que je l'aime, malgré tout après tout et après coups ...
Eh yo Regarde moi , j'traîne encore dans les rues du vieux Nice ... l' odyssée de Scarz, c'est pas d' Ulysse ... grabataire de mes démons, de toute les conneries qu'ils me déblatère , j’erre à la lumière des réverbères ... J'croise des filles de joie sur le pavé ... des pervers en train d'baver, cette nuit le vice et les pêchers n'ont pas prévu de se laver . Une vago passe , musique a fond, fait cracher, les décibels, d'une musique aussi laide, que le triste chant des sirènes ! Moi je marche jusqu'au far , sous le bleu des gyrophares , esquive des contrôle des ch'tar , j'finirai pas a Auvare ... d'un regard sur a leur encontre, j’écarte les mauvaises rencontres, l histoire j'la connait déjà , crois moi j'ai déjà donné ... de plus en plus solitaire, avec moi même autoritaire, avec moi même solidaire ! Parfois dans l'ivresse, mes doutes se libèrent ... pourtant je profite de cette vie et j'crois même que je l'aime, malgré tout après tout et après coups ...
Mes cicatrices me rappelle, que le passe est réel, je m'embrouille , je m'emmêle, mais toujours j'me démêle ... J'me démerde ... seul ... depuis l'berceau, jusqu'au linceul, oui d'un seul revers d'la main, J'revois l'monde avec mes yeux d'gamins . J'envoie s'faire foutre le malin, sachant qu'il reviendra demain, Il s'invite, il s'agite, Joue sur le fait qu'jsuis nostalgique, chacun ses addictions, L'alcool ou fumer d'herbe ... moi chaque jour j'me came a cette putain d'mélancolie d'merde
J'me sens amorphe et ... prisonnier ... d'un processus amorcé, marre de Morfler ... de lutter, contre Morphée ... J'vois les gens s’envier , s'épier, se critiquer, mais peu balaye devant leurs portes ... et peu n' peuvent ce que ça leur apporte ... Abandonner c'est tentant, mais perso, j'ai pas l'temps ... de nos Jours j'tle dit j'me fie ni a c'que je vois ni a ce que j'entend, ma vie de prolétaire, d'ouvrier et de père ... ma petite famille, mes repères, mon petit terre a terre .
credits
license
all rights reserved